La méthode pas-à-pas pour créer un nom fort

Trouver un bon nom ne repose pas sur l’inspiration seule. Un processus structuré vous permet d’avancer avec pertinence.

Déterminez l’identité et les valeurs de votre marque

Avant même de chercher un nom, interrogez-vous sur ce que votre marque représente. Quels sont vos piliers ? Vos engagements ? Un nom pertinent naît toujours d’une base solide : mission, vision, valeurs, univers. Cette première étape met en relation votre futur nom avec le sens que vous souhaitez lui donner.

Définissez votre audience cible

Un bon nom doit parler à ceux que vous voulez convaincre. Quel âge ont-ils ? Quels codes culturels les influencent ? Comment parlent-ils ? En répondant à ces questions, vous affinez le ton et le style de nom qui fonctionnera le mieux pour votre cible.

Pensez à votre promesse de marque et le ton à utiliser

Votre nom ne résume pas tout, mais il doit refléter une intention claire. Positionnement premium ou accessible, esprit traditionnel ou innovant, univers fun ou sérieux : votre ton influence le choix du mot, de la sonorité, voire du rythme.

Testez et affinez votre nom de marque

Une fois vos premières idées posées, testez-les. Prononcez-les à voix haute. Écrivez-les. Demandez à vos proches ce qu’ils comprennent ou ressentent. Observez les réactions : mémorisation, fluidité, image mentale. Écartez tout nom qui prête à confusion ou sonne mal à l’oral.

Vérifiez la disponibilité juridique et digitale du nom de marque

Avant de vous attacher à un nom, vérifiez qu’il est disponible. Recherchez-le sur l’INPI, les registres de marques, les réseaux sociaux, et les noms de domaine. Il serait dommage de devoir abandonner une belle trouvaille à cause d’un conflit juridique.

Le naming est compliqué ? Engagez une agence de branding et naming

Faire appel à une agence spécialisée en naming peut vous faire gagner un temps précieux. Vous pouvez prendre contact sur ce lien avec un de ces professionnels. Ces derniers connaissent les pièges juridiques et culturels, savent mettre en relation votre nom à votre stratégie de marque et proposent des noms impactants, créatifs et durables. Quand faire appel à ces experts ? Lors de la création d’une nouvelle marque, d’un changement de positionnement ou d’un rebranding complet. C’est aussi utile si vous évoluez dans un secteur concurrentiel où chaque mot compte pour vous différencier.

Les erreurs courantes à éviter

Certaines erreurs peuvent ruiner vos efforts avant même le lancement de votre marque. Voici les plus fréquentes.

Utiliser une indication géographique sans raison valable

Mentionner une ville ou une région peut vous enfermer inutilement. Sauf si c’est un élément fort de votre identité, ce choix limite votre expansion future ou brouille votre positionnement.

Se fier aux tendances éphémères

Un nom à la mode aujourd’hui peut vite vieillir. Les jeux de mots sur des références actuelles (buzzwords, culture pop, anglicismes tendance) perdent leur impact dès que la tendance passe. Visez l’intemporalité.

Ne pas vérifier les noms existants

Créer un nom sans faire de vérification préalable, c’est courir un risque juridique. Une marque trop proche d’une autre peut entraîner des litiges, voire l’interdiction d’usage. Prenez le temps de faire une recherche sérieuse.

Choisir un nom trop proche d’une autre marque

Même si le nom n’est pas exactement identique, une trop grande ressemblance dans la sonorité ou l’orthographe peut semer la confusion. Vous risquez aussi de ne pas marquer les esprits.

Négliger la signification dans d’autres langues

Un nom peut sonner bien en français mais avoir un sens gênant dans une autre langue. Si vous avez une ambition internationale, vérifiez les traductions et connotations. Cela vous évite des malentendus ou des situations embarrassantes.

Décrire trop précisément l’activité dans le nom

Un nom trop descriptif bride votre marque. Par exemple, PeintureProParis limite vos perspectives si demain vous proposez d’autres services ou si vous élargissez votre zone géographique. Optez pour un nom plus souple, plus conceptuel.

Choisir un nom trop compliqué

Si vos prospects ne savent pas comment l’écrire, le retenir ou le prononcer, ils l’oublieront vite. Un bon nom se mémorise facilement et s’écrit sans faute. Simplicité et clarté sont vos alliées.

Un planning de séminaire nautique bien rodé pour faire émerger le travail d’équipe

Alternez activités nautiques (exemple : pratique de la voile, apprentissage de la navigation sur un catamaran, etc.) et séances de travail. Par exemple, consacrez la matinée à la navigation en mer, tandis que vous travaillez sur des projets concrets durant tout l’après-midi. Un spécialiste des séminaires nautiques de haut niveau, Medoc Nautique par exemple, vous accompagnera dans l’organisation et l’élaboration du planning.

Après chaque sortie en mer, l’équipe se réunit pour échanger sur ce qu’elle vient de vivre. Si le groupe a dû affronter ensemble des « épisodes » difficiles au large, il faut faire un débriefing. On discute de la manière dont chacun a réagi et la façon, dont l’entraide s’est mise en place.

Quel bénéfice en retirer après le retour au bureau ?

À partir de ces discussions, les participants sauront mettre en place un véritable travail d’équipe au bureau. Prévoyez des moments où les collègues discutent simplement de tout et de rien entre eux. Ils apprendront ainsi à mieux se connaître.

Des activités pour découvrir les potentiels ou talents cachés des collaborateurs

Lors d’un séminaire nautique, le manager doit changer sa façon habituelle de diriger l’équipe. Au demeurant, dans son quotidien professionnel, il devrait faire régulièrement des recherches pour trouver des conseils en management et leadership à appliquer. Sur un bateau, il devient un participant comme les autres. Il profite de cette réunion pour observer la manière, dont son équipe fonctionne.

Un bon manager laisse ses collaborateurs prendre des initiatives pendant les manœuvres nautiques. Les défis durant les activités nautiques permettent d’identifier les qualités de leadership chez des collaborateurs qui s’expriment peu en environnement professionnel. Il se rendra par exemple compte qu’un collaborateur timide au bureau est excellent pour coordonner l’équipe en mer.

Quel bénéfice en retirer après le retour au bureau ?

C’est donc, en quelque sorte, l’occasion de découvrir des talents cachés dans l’équipe. L’expérience en mer révèle souvent des compétences insoupçonnées dans le domaine de la prise de décision et de gestion de crise. Ces observations vont lui servir à mieux organiser le travail une fois qu’il est de retour au bureau.

Pour améliorer la communication de vos équipes

Sur un bateau, les membres de votre équipe sont obligés de communiquer clairement entre eux. C’est une condition sine qua non pour réussir les manœuvres auxquelles ils participent. Au milieu du bruit du vent et du vacarme des vagues, tout le monde doit parler fort, bien articuler et aller à l’essentiel (importance de la concision). Les situations stressantes en mer poussent les participants à améliorer leur capacité d’écoute et à mieux transmettre les informations. Autrement dit, chacun apprend à donner des instructions courtes, à s’assurer qu’elles sont bien comprises et à être attentif au retour de ses collègues.

Quel bénéfice en retirer après le retour au bureau ?

Les activités nautiques collectives font émerger chez les participants une prise de conscience : l’importance d’une communication structurée et bienveillante. Résultat, l’équipe communique mieux une fois au bureau. Vos collaborateurs gardent l’habitude d’être directs et précis dans leurs échanges professionnels. En clair, la communication est efficace, ce qui ouvre la voie à des gains de productivité.

La stimulation de l’investissement collectif

Pour que le séminaire nautique aboutisse à la naissance d’une équipe soudée, il faut que chacun des membres puisse apporter sa contribution à son bon déroulement. Par exemple, lors d’une sortie en mer, certains seront à l’aise avec la navigation, d’autres avec la cuisine à bord, etc. L’important est que chaque personne se sente utile et à l’aise. Le séminaire se termine par un moment fort où toute l’équipe prépare quelque chose ensemble (par exemple, un repas collectif).

Accorde sa confiance

Un leader ne soumet pas de pression à son équipe, il la cultive, et en prend soin pour parvenir à termes dans son projet. Même s’il tient les rênes, un bon dirigeant laisse ses collaborateurs s’exprimer en toute liberté. Dans une entreprise, les tâches sont départagées, et d’ailleurs chacun use de sa performance afin d’atteindre un but commun. Dans cette démarche, il prendra en compte les expertises, et les aspirations émanant de ses proches associés.

Fixe des objectifs

Au lieu de donner des ordres en permanence, le leader d’une société planifie ses activités dans le bon sens. De cette manière, il parvient à établir des deadlines, des records à atteindre, mettant le personnel au défi. Pendant les réunions, il sera amené à expliquer les points importants du projet, précisant ses attentes de chaque membre de l’équipe. Dans un esprit de réussite commune, tout le monde se sentira concerné, conscient de la valeur de sa contribution dans le projet.

Adhère à l’échange du savoir

Dans son rôle, un dirigeant permet à ses employés d’évoluer et de se partager mutuellement ses expériences. La transmission de connaissance est nécessaire, dans le sens où un nouveau collaborateur arrive, et que son intégration dans l’entreprise apporte des changements dans les missions attribuées à l’équipe. La montée en compétence est source de motivation pour les employés, c’est une phase où ils se découvrent à travers d’autres projets professionnels. Le but serait alors de laisser la chance aux plus talentueux de faire ses preuves.

Récompense les salariés

Dans les boîtes modernes, on adore les challenge ! Les challengers sont d’ailleurs prêts à tout pour décrocher une victoire de temps à autres. Puis, il n’y a rien de mieux que de pimenter les dures journées de travail. Hormis les rémunérations auxquelles on a droit tous les mois, les petits cadeaux ne sont pas de refus. Un leader accorde une attention particulière à ces petits riens qui font la différence dans son entreprise. Les récompenses sont signe de reconnaissance, c’est aussi un apport de motivation pour stimuler les collaborateurs dans leurs parcours. Et comme l’équipe a besoin d’encouragement, le rôle d’un leader consiste à soutenir ses collaborateurs dans leurs idées, leurs rêves. Bref, il tire vers le haut son équipe de manière à saisir ce qu’est le véritable succès.

Les événements pouvant conduire à la restructuration d’une entreprise

Plusieurs causes peuvent être à l’origine des opérations de structure comme des difficultés financières. Auquel cas, les dirigeants sont obligés d’organiser des opérations de cession de la société ou un rapprochement avec d’autres sociétés ou encore l’entrée de nouveaux associés ou actionnaires. Cela étant fait dans le but de réorganiser l’entreprise et d’optimiser sa structure juridique. Cela permet également de créer des liens avec les autres sociétés d’un même groupe par exemple ou entre les associés.

En quoi consiste concrètement une restructuration ?

La restructuration ou l’opération de structure regroupe des opérations qui peuvent impacter la structure d’une société. On peut parler de la fusion-acquisition, une opération marquée par la transmission de patrimoine de plusieurs sociétés à une société déjà existante ou à une nouvelle société qui vient d’être constituée à cet effet. Contrairement à la fusion-acquisition, la fusion-absorption est plus simple car elle est le fruit de l’assemblage en une seule entité de deux sociétés différentes.

La transmission universelle de patrimoine est aussi assimilée à une opération de structuration. Sans oublier la scission qui est une opération marquée par la séparation des branches d’activité de la société par ses actionnaires ayant pour finalité la création de plusieurs sociétés distinctes. Il y a aussi l’augmentation ou la réduction de capital et même le changement de la forme juridique de la société.

Pour toute opération de structuration ou de restructuration de l’entreprise, le mieux est de faire appel à un cabinet de conseil opérationnel indépendant. Ce dernier peut vous accompagner dans vos projets de transformation Finance pouvant impacter sur votre organisation et les activités courantes de votre société.

1. Le gain de temps

Étant donné que c’est l’entreprise de portage salarial qui est en charge de toutes les démarches administratives, le consultant a donc plus de temps pour pouvoir mieux se concentrer sur les missions confiées et sur le cœur du métier. Il lui est possible de développer son activité professionnelle tout en effectuant un démarchage commercial des cibles.

2. La protection sociale

Le consultant est indépendant dans ses missions de tous les jours, mais il reste quand même protégé. Ainsi, il a droit à la Sécurité sociale, à une assurance responsabilité civile ainsi qu’à une mutuelle intéressante. Par ailleurs, il peut aussi bénéficier d’une cotisation pour la retraite. Si par manque de chance, le consultant se retrouve au chômage, alors il peut avoir une indemnisation.

3. L’obtention de missions

En sollicitant le service Portage salarial, le consultant a moins de mal à dénicher de nouveaux clients. Avec une entreprise de portage salarial comme soutien, il peut profiter de sa crédibilité, de ses conseils ainsi que de son référencement.

4. L’accès à la formation

L’une des missions principales d’une société de portage salarial est d’accompagner les travailleurs indépendants. Avec des formations composées de plusieurs modules spécifiques, il est alors plus facile pour les consultants de développer leur activité et ainsi d’accroitre leur chiffre d’affaires.

Pourquoi la sécurité des données de l’entreprise est en danger dans un contexte de télétravail ?

La pandémie du Covid-19 a poussé le gouvernement et les entreprises à se réorganiser pour permettre aux activités qui font tourner l’économie nationale de se développer normalement. C’est ainsi que le télétravail est devenu obligatoire pour tous les employés qui peuvent le faire. Cependant, ce mode de fonctionnement demande aussi aux employés et à l’employeur d’appliquer des méthodes de travail adaptées, notamment l’utilisation d’outils numériques à distance ainsi que l’exploitation et le traitement des données numériques de l’entreprise, à l’extérieur de son local.

Face à cela et parce qu’il y a urgence pour l’entreprise devant faire tourner ses activités, le système de sécurité informatique peut être lésé et compromis. L’entreprise n’aura pas l’emprise qu’elle a habituellement lorsque son employé travaille à son domicile. Comme risques recensés par les experts de la sécurité numérique, les télétravailleurs sont de plus en plus victimes d’attaques de ransomwares. Cela est possible si le niveau de sécurité des appareils informatiques utilisés par le collaborateur en télétravail n’est pas optimal.

Ainsi, dès qu’il utilise le réseau de l’entreprise ou se connecte à son serveur, un hacker peut chiffrer l’accès et trouver un moyen d’exploiter les données numériques de l’entreprise. Il n’est pas rare également qu’un télétravailleur soit victime de phishing à travers des emails qui semblent provenir d’un autre collaborateur ou d’un dirigeant demandant des informations sensibles.

Comment assurer la protection numérique quand le télétravail règne ?

Repenser à la sécurisation en télétravail doit être une priorité pour chaque entreprise afin de limiter les risques de perte et de vol de données numériques. Pour ce faire, employeur comme employé doivent être vigilants à tout moment. Pour l’employeur, un investissement en matériel et équipement bien sécurisés doit être fait pour les télétravailleurs. Il est indispensable que chaque matériel informatique soit doté d’un antivirus et d’un pare-feu à jour, mais aussi de logiciels sûrs et mis à jour fréquemment.

Il est également indispensable d’éduquer le télétravailleur à ne travailler que dans un lieu où il ne pourra pas être dérangé et où l’on ne peut pas toucher à ses dossiers numériques. Un enfant ayant accès à l’ordinateur de travail du télétravailleur peut effacer par mégarde les données de ce dernier. L’employeur doit aussi s’assurer que son employé dispose d’un réseau électrique aux normes et d’une bonne connexion Internet. En plus de cela, l’accès au serveur de l’entreprise doit être protégé par un mot de passe et un identifiant et idéalement, tous les travailleurs doivent passer par un VPN. C’est un moyen qui permet le chiffrage de tous les accès à distance au sein du serveur de l’entreprise.

Pour le télétravailleur, il est indispensable d’avoir un espace bien séparé pour le coin professionnel. Autant que possible, le matériel informatique utilisé dans le cadre professionnel ne doit pas servir aux besoins personnels, surtout dans les transactions sur le Net, en matière d’applications utilisées, etc. Il faut également faire très attention aux mails et à leur contenu. Pour les demandes trop pressantes, il est prudent de bien scruter le contenu du courriel pour éviter de tomber dans un acte d’hameçonnage.

En cas de doute, il est recommandé d’appeler la personne destinataire ou le responsable du système d’information de l’entreprise. Pour terminer, le télétravailleur doit faire des sauvegardes systématiques et prendre le temps de vérifier qu’il a fermé sa session avant de quitter son ordinateur ou sa tablette.

Il faut bien préciser ses objectifs

Préciser ses objectifs peut paraître logique. C’est une étape indispensable pour une bonne gestion de projet. Si on ne définit pas en détail les buts en avance, on risque de perdre de vue les choses les plus importantes. En effet, quand les objectifs ne sont pas bien définis, non étudiés ou faits tardivement, vous serez obligé de refaire le travail plus tard. Si vous commencez par une mauvaise base, il est sûr que le résultat ne sera pas satisfaisant. En revanche, quand les objectifs sont clairs, ils vous permettent de mieux vous concentrer sur votre projet. Il faut surtout prendre en compte la durée de la réalisation du projet et le budget pour le réaliser.

La bonne organisation est la clé de la réussite

Quels que soient vos efforts ou vos compétences, c’est l’organisation qui compte le plus. Il est important de faire une planification des tâches. C’est une étape qui consiste à ordonner les tâches sur une période précise. Il faut déterminer l’ordre de chaque mission pour atteindre son objectif. Pour éviter de se retrouver coincé dans un service que l’on a du mal à réaliser, il faut alors prendre en compte les éléments qui peuvent empêcher la réalisation des autres activités.

Attribuez les tâches en fonction des compétences de l’équipe

Le succès de la gestion d’un projet ne dépend pas du nombre de personnes qui participent à sa réalisation. Même si les participants impliqués sont peu nombreux, on peut réussir avec une bonne répartition des tâches selon les compétences de chacun. Une fois que le projet débute, il faut assurer le suivi et l’avancement de chaque tâche régulièrement.

Une gestion informatisée

L’avantage avec un logiciel de gestion commerciale est qu’il permet d’accéder à un outil informatique ergonomique. Toutes les tâches à réaliser peuvent être effectuées via une seule interface : la facturation, l’optimisation de stocks, l’achat ou l’approvisionnement, le prix, etc. Le logiciel permet d’inscrire et d’accéder à toutes les données commerciales nécessaires, car celles-ci sont synchronisées en temps réel.

Grâce à de telles fonctionnalités, le logiciel permet aussi d’automatiser les démarches de vente, de la réception de la commande jusqu’à la livraison. Pour ce qui est de la visibilité du processus, les responsables peuvent effectuer la traçabilité des produits et le suivi des quantités disponibles en stock.

Vous pouvez trouver le meilleur logiciel de gestion commerciale via le site de créateurs de logiciels comme JLOGICIELS. Le produit proposé par ce dernier permet de suivre votre état de facturation, d’éditer des remises de chèques et d’émettre des relances de factures et les envoyer par mail.

Il est à noter que les données dans un logiciel de gestion commerciale peuvent être partagées à plusieurs utilisateurs (dirigeant, service comptable, etc.). Des mises à jour peuvent également être faites.

Un réel gain de temps

En plus de tous ces avantages, le logiciel de gestion commerciale représente un réel gain de temps pour les agents commerciaux. Étant donné qu’il est intuitif et offre une fonctionnalité d’automatisation, les tâches qui incombent aux professionnels deviennent moins complexes. Le logiciel permet de faciliter le processus de vente, de réaliser les factures en bonne et due forme et d’avoir un aperçu des dépenses réelles. Autrement dit, il offre l’occasion pour faire preuve de professionnalisme.

De nos jours, les logiciels de gestion commerciale sont accessibles à distance. Compte tenu du contexte actuel où le télétravail s’est démocratisé, il se présente comme un réel atout pour travailler sans être présent dans les locaux. Notez que le logiciel est adapté à une tablette, un ordinateur ou à un smartphone.

Ce qu’est le régime micro-entreprise

Le régime micro-entreprise est un régime accessible aux entrepreneurs individuels, aux EURL avec un gérant unique qui est une personne physique. Ce régime fiscal est aussi accessible à ceux qui choisissent l’EIRL. Si vous voulez bénéficier de ce régime, vous devez respecter le plafond à retenir. Pour cette année encore, comme pour les deux années passées, voici ces seuils de recettes. Concernant les activités centrées sur la commercialisation d’objets, de produits, de denrées à consommer sur place ou à emporter, le seuil est de 176 200 euros et c’est également le seuil à respecter pour la fourniture de logement. Il est question de logement dans un hôtel, un meublé de tourisme ou une chambre d’hôtes. Quant aux activités de prestations dans le cadre des bénéfices industriels et commerciaux ou BIC, le seuil est de 72 500 euros. C’est le même seuil pour les professionnels libéraux relevant des bénéfices non commerciaux ou BNC. Le régime micro-entreprise bénéficie de plusieurs simplifications, en premier lieu, par rapport aux obligations comptables. Concrètement, cela signifie que vous n’êtes pas tenu d’établir des comptes annuels. Un registre des achats et un livre de recettes suffit si votre activité consiste en la vente de fournitures, de marchandises ou de denrées à emporter ou à consommer sur place. En second lieu, pour les cotisations sociales, elles sont calculées sur la base d’un taux fixe sur les recettes encaissées. Ensuite, vous êtes imposé sur un bénéfice calculé forfaitairement.

Les avantages du régime micro-entreprise

Premièrement, c’est un régime qui vous donne droit à des obligations comptables très simplifiées. Vous êtes exempté de la tenue d’un grand-livre, d’un livre-journal et de l’établissement des comptes annuels. Vous n’êtes pas concerné par les questions de compte de résultat, de bilan, etc. Puisque vous n’avez pas à passer beaucoup de temps là-dessus, vous pouvez vous concentrer sur votre activité. Si celle-ci se porte sur le négoce, vous avez juste à tenir un registre des achats et un livre des recettes.
Étant donné que vos obligations comptables sont simplifiées, vous n’avez pas besoin d’engager un expert-comptable. Vous allez réaliser une belle économie chaque année parce que vous n’aurez pas à payer les honoraires d’un tel professionnel. En effet, les services d’un expert-comptable sont assez onéreux.
Un troisième avantage, c’est l’imposition des bénéfices qui est calculée très simplement. Le bénéfice est calculé sur le montant de votre chiffre d’affaires et c’est sur cela que vous êtes imposé. Concernant les cotisations sociales, c’est par rapport au montant de votre chiffre d’affaires que l’on applique un taux forfaitaire.
Enfin, sachez que pour une micro-entreprise, il n’y a pas de surprise quant aux taux, ils sont connus d’avance. Vous pouvez donc analyser facilement si votre micro-entreprise réussira ou non.

Portage salarial : c’est quoi ?

Intégré dans le Code du Travail Article L1251-1, le portage salarial est un statut destiné aux indépendants et aux personnes souhaitant se lancer dans le domaine du freelance. Par rapport aux autres statuts, il leur permet de travailler pour leur client et de conserver le statut de salarié.

Une entreprise, plus particulièrement l’employeur, peut également choisir le portage salarial. Comme avec toute autre société, ce dernier peut donner les missions habituelles à ses salariés et s’occuper des domaines administratifs et financiers de sa firme. La différence est que l’employeur gérera de manière autonome les missions.

Actuellement, le portage salarial connaît une forte croissance. Il s’avère que 65 % des employés indépendants optent pour ce statut. En fait, le portage salarial est une alternative à la création d’entreprise. Sachant que cette dernière nécessite l’accomplissement de plusieurs formalités juridiques et administratives et notamment la publication dans un journal d’annonce légale. Le portage salarial est beaucoup plus souple, tant en termes de formalité qu’en termes de fonctionnement.

Comment ça fonctionne ?

Le fonctionnement du portage salarial est simple comme expliqué sur https://www.cegelem.fr/. Les missions se déroulent comme suit :

– Prospection et négociation salariale :

Le salarié porté (employeur ou salarié indépendant) doit entrer en relation avec une entreprise ou un client qui peut lui confier des missions. Un accord sera ensuite établi : les activités à entreprendre, le tarif d’intervention, durée de travail, objectif, les frais inclus…

– Contrat :

Une fois les négociations faites, le salarié et le client doivent élaborer un contrat de travail. Ce dernier est indispensable, car il servira de preuve légale en cas de litige. Il contient les accords établis.

– Mission :

Le salarié doit, ensuite, réaliser les missions confiées dans le cahier des charges. Il est dans l’obligation d’informer régulièrement son client de l’avancée du travail réalisé. Pour cela, il peut utiliser les outils qu’ils jugent indispensables. Ainsi, il pourra gagner du temps et travailler en tout professionnalisme.

Pour ce qui est de la rémunération, celle-ci se fait en fonction du mode de paiement établi dans le contrat. En général, elle est versée tous les mois selon le mode choisi : virement, cash, etc.

Quels sont les avantages du portage salarial ?

Devenir un salarié porté représente de nombreux avantages, à savoir :

– Un statut pour tous :

Le portage salarial s’adresse à tout professionnel. Formateur, manageur, rédacteur, consultant, médecin… tout corps de métier peut choisir ce statut.

– Un accompagnement personnalisé :

L’avantage avec le statut de salarié porté est que celui-ci peut exercer son métier en toute autonomie, tout en bénéficiant du soutien d’une entreprise de portage. Cette dernière lui donnera des conseils pratiques pour réaliser son projet et pour le développement de son entreprise. Il existe, d’ailleurs, des entreprises de portage qui proposent des formations et des ateliers adaptés aux besoins du salarié porté.

– Un statut permettant de travailler en toute liberté :

Le portage salarial permet de travailler avec plus de liberté. Il épargne les salariés des obligations administratives (création, comptabilité, impôt, etc.), car celles-ci sont prises en charge par une société de portage.