Mission du psychologue

Les psychologues accompagnent les patients dans un cadre introverti qui vise à résoudre les difficultés psychologiques et à rechercher des quêtes permanentes d’équilibre personnel. C’est ce qu’on appelle le traitement et il s’applique lors des consultations en groupe ou individuelles. À la différence des psychiatres, les psychologues n’ont pas le droit de prescrire des médicaments. Il aide en réalisant un bilan psychologique et en délivrant le diagnostic. Une personne en détresse mentale peut être alors consultée directement à partir de son cabinet ou dans divers établissements.
Dans les hôpitaux ou les centres spécialisés, par exemple, les psychologues cliniciens prodiguent des conseils pour accompagner les patients afin d’améliorer leur santé et leur qualité de vie. Le stress, les phobies, la dépression, les divers troubles concernant les sphères de la personnalité, sont traités grâce à ses savoirs théoriques et pratiques.

Les qualités d’un psychologue

Les psychologues doivent avoir un goût plus prononcé du contact lorsqu’ils consultent directement des personnes qui ont généralement des problèmes moraux ou mentaux. Ils doivent alors être patients et compatissants. En effet, un psychologue ne peut pas faire son travail correctement sans montrer la capacité d’écouter et de prêter attention aux problèmes des autres. Par conséquent, il veut naturellement aider les gens et doit créer une atmosphère de confiance qui aide à toute conversation, sans émettre de jugement. L’observation est aussi essentielle que la neutralité et l’objectivité. De même, un équilibre personnel parfait est nécessaire pour identifier les dommages potentiels chez le patient et pour éviter les éruptions d’autres émotions.

Formations et études pour devenir psychologue

Pour devenir psychologue, il est recommandé d’obtenir un baccalauréat général avant d’obtenir une licence en psychologie. Ensuite, la formation se poursuit en Master 2 Professionnel en Psychologie ou en Etudes de Psychologie niveau bac + 5. Les diplômes délivrés par les écoles privées d’exercice de la psychologie à Paris ou à Lyon sont également reconnus pour la qualité de l’enseignement destiné à des experts en psychologie clinique, en pédagogie et en devenir de la justice. Le diplôme obtenu psychologue du travail du Centre national des Arts et Métiers ouvre davantage la voie pour le secteur social où il y a toujours plus de possibilités, en particulier pour la santé mentale au travail.

Le digital, secteur qui ne connaît pas la crise.

Le digital recouvre le quotidien : dans vos réseaux sociaux, dans vos appareils connectés et même dans la stratégie des entreprises.
Les connaissances analytiques ne suffisent plus. Nombreux même sont ceux qui se reconvertissent dans le digital pour booster leur profil.

Quel métier du digital choisir ?

Le digital se diversifie en 3 catégories distinctes.
Les métiers du développement web :
Le développeur web crée la structure en allant du code et de l’interface utilisateur des sites web ou des applications affiliées à une entreprise. Il doit maîtriser les langages de développement et de programmation tels que HTML5, CCS3, Javascript, Phyton, SQL…
• Développeur d’applications mobiles
• Développeur de jeux vidéo
• Développeur Javascript
• Développeur blockchain
• Etc.
Les métiers de la création web :
Le web design est souvent utilisé par les marques pour concevoir le visuel de leur produit. Il est au-delà des esthétiques et entre dans le cadre de la stratégie marketing.
• Chef de projet digital
• Directeur de création
• Graphiste
• Illustrateur
• Etc.
Les métiers du web marketing :
Après l’explosion des sites de e-commerce sur les dernières années, les entreprises ont opéré une transformation digitale. Elles doivent s’adapter aux nouvelles technologies pour gagner leur place sur le marché par la fidélisation client, le changement de structure ou le choix d’une stratégie marketing pour avoir plus de visibilité. Pour ce faire, les entreprises ont besoin de faire recours aux :
• Data analyst
• Chef de produit digital
• Community Manager
• Expert SEO
• Etc.

Comment se former ?

La formation en digital peut se faire soit en ligne soit dans les universités ou écoles spécialisées.
L’avantage à prendre en compte est que les métiers du digital peuvent très bien se pratiquer indépendamment d’une entreprise (en freelance).

Espace repas : un privilège à octroyer aux salariés

Il est dans votre obligation de proposer un espace repas confortable et calme à collaborateur, puisqu’ils leurs sont interdit de déjeuner sur leur espace de travail. Il suffit qu’un salarié le demande et vous devez le mettre en place le plus vite possible. L’espace repas doit être à la hauteur du nombre de collaborateurs qui vont y manger.

Les frais de repas des salariés en déplacement à votre charge

Si l’un de vos collaborateurs est en déplacement à l’extérieur de l’enceinte de l’entreprise, vous devez payer ses frais de repas dès qu’il n’a pas la possibilité de manger chez lui ou au sein de l’entreprise. Ces frais de repas entrent dans le cadre des « dépenses supplémentaires exceptionnelles au titre de l’accomplissement de la mission ». Ils font partie des frais que vous devez rembourser au même titre que les frais d’hôtel et les frais de transport. Il existe cependant une base forfaitaire applicable. En dessous de cette barre, tous les repas doivent être remboursés sans charge sociale. Si le coût des repas dépasse ce seuil, l’employé doit cotiser sur les frais de repas.
Pour les salariés en SSII devenue aujourd’hui ESN, une intervention de moins de trois mois chez un même client est prise en charge. Si votre TPE œuvre dans une SSII, votre salarié est considéré comme en déplacement. Il ne peut pas rejoindre votre entreprise pour manger, dans ce cas, ces frais de repas font partie des frais remboursable selon les critères de l’indemnité forfaitaire. Au-delà de trois mois, il ne pourra plus profiter de l’indemnité de repas, puisqu’il est considéré comme sédentaire.

Les frais réels sont à rembourser pour les salariés en formation

Si le salarié est en formation à l’extérieur de l’entreprise, vous devez rembourser ses frais de repas, sauf si c’est l’institut de formation qui prend en charge les repas. Si c’est le salarié qui doit s’acquitter de ses frais de repas, leurs remboursements se feront aux frais réels. Aucune charge sociale n’est applicable à ces frais, quel que soit le montant des dépenses. Aucune imposition ne s’applique également sur le revenu du salarié.

Titres restaurants : une manière de payer les frais de repas

Cette solution est un coup de pouce que vous pourrez octroyer à vos salariés. Les titres restaurants améliorent en effet le pouvoir d’achat de vos collaborateurs. Le titre restaurant est destiné à tous les salariés que doivent prendre leur repas durant leurs horaires de travail, quel que, soit son revenu. Un salarié absent ne peut pas profiter d’un titre restaurant. L’exonération fiscale s’applique quand la participation est comprise entre 50 à 60% de la valeur du titre à raison de 5.52 euros. Un titre restaurant pour chaque employé ne vous enlève pas l’obligation d’offrir un espace repas à vos salariés.

Un master dans une école spécialisée

Pour devenir un architecte professionnel, intégrez une école spécialisée. La France compte près d’une vingtaine d’écoles spécialisées proposant un cursus allant jusqu’au bac+5. Sachez que vous devez posséder au moins un master pour pouvoir occuper le poste d’architecte. Certaines tâches comme la maîtrise d’œuvre en son nom propre exigent même un bac+6. Pour vous assurer d’être inscrit à l’ordre des architectes, terminez votre sixième année en architecture. Par ailleurs, à partir de la troisième année, vous aurez à effectuer des stages au sein d’un cabinet d’architectes qui durent au moins 6 mois. Il s’agit de la meilleure manière d’enrichir ses compétences et d’intégrer le monde professionnel dans les meilleures conditions.

Les qualités nécessaires pour devenir architecte

En tant que bon architecte, vous devez d’abord être passionné par le métier. On dit que la passion anime la créativité. Étant donné que vous aurez à créer des espaces, cette qualité vous sera indispensable dans le cadre de votre travail. Ce métier exige également une certaine rigueur, en particulier au niveau de la qualité des finitions et de la fondation. Vous ne devez négliger aucun détail, au risque de voir votre bâtiment s’effondrer et votre réputation s’effacer. Vous aurez également à faire du prospect pour vous faire connaître. De ce fait, le sens de la communication et l’esprit commercial sont nécessaires. Vous en aurez besoin pour convaincre vos clients de votre sérieux et de la qualité de vos travaux. Il se peut aussi que vous ayez à gérer une équipe de plusieurs professionnels du bâtiment dans votre cabinet. À cet effet, apprenez le leadership pour instaurer la meilleure ambiance de travail possible au sein de votre équipe.

Des questions d’importance

La rédaction de votre CV, la manière dont vous allez le présenter dépend beaucoup des réponses à quelques questions importantes. Réfléchissez un peu : si votre CV reflète ce que recherche un recruteur, il y a de grandes chances qu’il sera lu et retenu. La première question qu’il faut se poser concerne votre profil. Question trop banale et réponse trop évidente ? Pas tant que cela ! En fait, avant de créer votre CV, demandez-vous ce qui vous définit vraiment, vos valeurs et vos principes. Analysez si ceux-ci vont dans le sens du poste visé ou s’ils ne sont pas compatibles. Ce à quoi vous tenez va servir l’entreprise ou est-ce le contraire ? Soyez conscient de vos points forts comme de vos points faibles et examinez en quoi votre force sera utile à l’entreprise.

Deuxième question pertinente : qu’est-ce que vous pouvez apporter de concret et de positif à l’entreprise ? Par rapport aux qualités, compétences et formations requises pour le poste espéré, qu’est-ce qui vous rend apte à occuper ce poste ? Qu’est-ce qui vous rend si spécial au point que le recruteur n’hésitera pas à faire appel à vous ?

Pourquoi votre CV et pas un autre ?

Au moment de la rédaction de votre CV, relisez-le bien et posez-vous honnêtement la question : pourquoi choisira-t-il votre CV et non pas celui d’un autre ? Pour quelles bonnes raisons jettera-t-il son dévolu sur vous et non sur un autre candidat ? Tout est dans la manière dont vous créez votre CV. Il doit refléter votre état d’esprit, ce qui vous inspire et vous anime. Êtes-vous une personne dynamique et travailleuse ? Que cela se voit dans le design et l’originalité de votre CV ! Vous pouvez vous inspirer des modèles de CV design proposés en ligne. Pour créer un CV digne d’un designer, ajoutez des icônes par-ci, des liens par-là, une photo nette et agréable à regarder, etc. Avec ces petits détails, le recruteur en saura plus sur votre personnalité que sur les autres contenus de votre CV. Voulez-vous que le recruteur arrive à vous contacter par tous les moyens possibles ? Créez un compte LinkedIn, inscrivez-vous sur Skype, créez votre propre site Web, cela lui donnera un aperçu encore plus concret de vos réalisations et de vos projets, mais il pourra ainsi vous contacter par mille et une façons. Dans la section « coordonnées », pourquoi ne pas mentionner vos disponibilités, c’est-à-dire la date à partir de laquelle vous êtes libre pour le poste ? Marquez également votre mobilité, sur le plan national, départemental, etc.

Il faut de grandes qualités pour être un bon secouriste

Cela est vrai en partie puisque porter secours est l’essentiel du rôle du secouriste, un secours en urgence. Ce qui suppose une abnégation, un reniement de soi qui pousse spontanément vers une personne souffrante, qui qu’elle soit, et quel qu’en soit le moment. Le secouriste doit donc avoir une certaine dose d’esprit de sacrifice pour exercer correctement ce métier. Cela est d’ailleurs exigé des candidats se présentant au poste de secouriste ou d’urgentiste dans les établissements hospitaliers. Le sens du devoir, la réactivité, l’amour de l’autre, l’impartialité et l’empathie font partie des qualités essentielles dans ce métier. Des qualités qui, à défaut d’être innées, doivent absolument être cultivées et entretenues, développées.

Les cas où le secouriste intervient

Un secouriste apprend, lors de ses formations, à quel moment il doit intervenir. Il doit le faire notamment en cas de situations préoccupantes avec risque d’aggravation sévère. Il doit être à même de comprendre la situation et sa gravité pour pouvoir agir le plus rapidement possible. Ces situations peuvent être l’inhalation de fumée ou de gaz qui risque d’entraîner de sérieux dégâts si la victime n’est pas prise en main dans les meilleurs délais. Il y a aussi les cas d’évanouissement et à traiter en fonction de la durée de l’inconscience. Les étudiants en secourisme apprennent que l’état d’inconscience persiste, il est grand temps d’appeler un médecin. Ils apprennent également l’attitude à adopter en cas de choc électrique. L’intervention consiste principalement à appeler les urgences, puis, à débrancher la source électrique. Durant leurs études, on leur enseigne à faire de la respiration artificielle au cas où la victime a toujours un pouls mais ne respire plus et à faire de la respiration cardio-pulmonaire si elle n’a plus de pouls et ne respire plus. Le cursus prévoit également ce qu’il faut faire face à une personne qui tombe dans le coma.

Maitriser les gestes qui sauvent quand on est secouriste

Être secouriste, c’est certes apprendre mais surtout maitriser les gestes qui sauvent au moment qu’il faut. Pendant les formations, on apprend comment se comporter en situation de détresse vitale. Ce terme signifie que la personne présente une altération brusque et potentiellement mortelle. Par exemple si elle est en état de choc, suite à une suppression soudaine de ses fonctions vitales. Les cours comportent des séances de simulations et aident à apprendre à maitriser ses sentiments et ses émotions afin de faire front et garder son sang-froid. Sont expliqués les possibles symptômes accompagnant cet état et normalement, facilement reconnaissables, tels qu’une respiration irrégulière, des sueurs froides, des lèvres bleues ou décolorées, des frissons, un pouls trop rapide, affolé, des nausées et parfois, perte de connaissance. Les futurs secouristes apprennent aussi à rester calme si une personne fait de l’hémorragie.

Pensez à bien vous préparer

L’erreur de nombreux candidats à un poste c’est de venir avec un minimum d’informations à un entretien d’embauche. Cependant, l’un des points qui peuvent vous permettre d’avoir un bon point durant cette étape, c’est d’avoir le maximum d’informations sur l’entreprise. Tout au moins, vous devez connaitre ses activités principales. Mais en plus de cela, vous devez aussi essayer de connaitre sa position sur le marché, ses concurrents, et si possible, ses valeurs auxquelles vous devrez adhérer. Toujours dans la phase de préparation, vous devez également anticiper certaines questions. Certaines questions posées par les recruteurs peuvent se formuler comme de véritables pièges pour le candidat. Pour éviter d’être pris à dépourvu, il faut anticiper. Sachez que le recruteur vous demandera toujours de vous présenter dès le début de l’entretien. Vous devez aussi présenter votre parcours et il continuera par vous demander ce qui vous a poussé à choisir l’entreprise et le poste que vous convoité. Afin d’y répondre convenablement, soyez créatif en montrant votre motivation. Il ne suffit pas de répondre à ses questions dans ce cas, allez plus loin sans sortir du sujet. Par exemple, lorsque vous présentez votre cursus estudiantin, n’hésitez pas à faire le lien avec les activités du poste que vous convoitez. Il vous demandera aussi de présenter vos qualités et défauts. Il faut savoir répondre dans ce cas, en évitant le piège que vous n’avez aucun défaut. Ce que le recruteur recherche avant tout, c’est que vous reconnaissiez certains défauts, mais que vous savez comment les surmonter.

Avoir le bon comportement

Le recruteur vous jugera également sur votre comportement. Évitez d’être en retard dans un premier temps. Cela vous évitera de perdre des points. Il est même possible que ce soit éliminatoire. De plus, cela peut vous stresser durant l’entretien. Idéalement, vous devez arriver 30 ou 15 min à l’avance. Vous aurez ainsi le temps de vous préparer mentalement et de vous concentrer pour réduire les cas d’angoisse. Pour ce qui est de votre tenue vestimentaire, même si vous savez que l’entreprise met en avant un environnement cool et relâché, soyez toujours chic durant l’entretien. La chemise est de rigueur pour les hommes dans ce cas. Évitez également les baskets et les sandales. Soyez présentable.

Description du métier d’avocat

La fonction d’un avocat se divise en plusieurs branches. En effet, vous pouvez être un avocat de proximité, dans ce cas, vous vous occuperez des problèmes liés à la vie quotidienne des gens, à savoir le droit du travail, le droit de la famille, etc. Il y a aussi les avocats pénalistes qui défendent généralement les personnes qui vont aux tribunaux pénaux. Ensuite, il y a les avocats qui s’occupent des sociétés qui n’ont pas de service juridique et qui font appel à des professionnels pour leurs problèmes judiciaires courants. L’avocat a plusieurs rôles, mais il est principalement un conseillé et un défenseur de droit. Pour exercer le métier d’avocat, vous devez être inscrit au barreau. En outre, vous devez avoir une grande capacité de travail, une excellente qualité oratoire et rédactionnelle, ainsi qu’un esprit de synthèse.

Études et formations pour être un avocat

Pour devenir avocat, il faut avoir un master I ou un master II en droit, ainsi que le CAPA (Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat). Puis, les futurs avocats ou avocates doivent se préparer dans l’un des centres régionaux de formation professionnelle pour avocat (CRFPA) qui sont couramment appelés « école des avocats ». Ces centres de formation sont accessibles après un examen très sélectif pour les étudiants en droit de niveau master I. Pour les étudiants de niveau master II, ils ont la possibilité de préparer l’examen d’entrée dans ces centres via les instituts d’études juridiques (IEJ). La formation pour être avocat dure en tout 18 mois et s’organise suivant 3 modules, dont une formation de 6 mois en CRFPA suivi de 6 à 8 mois consacré à un projet pédagogique avant de finir avec un stage de 6 mois dans un cabinet d’avocat et à l’issu duquel l’étudiant doit passer le CAPA. Après cette formation, l’avocat doit prêter serment et s’inscrire au barreau de son choix. A noter qu’avoir une spécialisation en droit, par exemple en droit des affaires ou en droit communautaire, est souvent utile dans l’exercice de ce métier afin de faciliter les tâches à cause de la complexité des lois et de l’apparition des nouveaux droits (droit de l’informatique, de l’environnement…).

Le métier de manager d’entreprise

Un manager d’entreprise accompagne et conseille la direction d’une entreprise dans l’élaboration de plan et de stratégie de développement. Après avoir élaboré ce plan de développement, il doit s’assurer de sa mise en œuvre et en même temps définir les objectifs à atteindre ainsi que les ressources à utiliser pour cela. Aussi, le manager d’entreprise doit s’occuper de l’administration du personnel et des équipes de l’entreprise. Il doit diriger certains projets qui touchent les secteurs clés comme les ressources humaines, le marketing ou encore le management de projet. Pour accomplir toutes ces tâches, il doit avoir plusieurs qualités, ainsi que des compétences managériales et relationnelles. Il doit aussi être polyvalent.

Les études pour devenir manager d’entreprise

Pour être un manager d’entreprise, vous devez avoir au minimum un diplôme de bac+5 et suivre le cursus dans une école de commerce ou de communication. Néanmoins, vous devez savoir qu’un diplôme d’école de commerce accompagné de quelques années d’expérience est aussi une bonne voie pour avoir ce poste. Avec un bac+5, vous aurez le titre de manager d’entreprise, mais vous pouvez continuer vos études pour un bac+6 et avoir un diplôme en management spécialisé. Avec ce diplôme, vous aurez plus de possibilité d’évolution dans votre carrière et vous pouvez même accéder à un poste de direction. Si vous êtes plus ambitieux et si vous acquérez de l’expérience, vous pourrez même créer votre propre entreprise.

Télétravail, de quoi s’agit-il ?

De manière générale, le télétravail est le fait d’exercer une activité professionnelle en dehors des locaux de son employeur. Le télétravailleur use des outils de l’information et de la communication tout en tirant profit de l’évolution de ces derniers, pour effectuer ses missions dans un endroit de son choix. Si le domicile est le lieu de travail privilégié du télétravailleur, celui-ci peut également se rendre dans des espaces de coworking comme Mama Works, dans un café ou un autre endroit clos pour travailler. En 2017, les Ordonnances Macron ont assoupli les réglementations qui régissent le télétravail en France. Dès lors, il devient possible d’effectuer un télétravail par simple accord mutuel entre l’employeur et le salarié. Notez que selon l’article L. 411-1 du Code de la Sécurité Sociale, tout accident pouvant survenir sur le lieu de travail présumé du télétravailleur peut être considéré comme un accident de travail. L’employeur peut toutefois réfuter l’accident par écrit si besoin. De la même manière, le salarié peut refuser le télétravail s’il lui est proposé par son employeur.

Différence entre télétravailleur et freelance

Avec la hausse notable du télétravail contractuel en 2017, de plus en plus de salariés se tournent vers cette pratique en raison des nombreux avantages qu’elle leur procure. Outre le fait de limiter les temps de trajet, voire les supprimer, le télétravail apporte une certaine flexibilité. Il permet au salarié de concilier à la fois vie privée et professionnelle. Ce qui lui assure d’être plus efficace dans son travail. Si le freelance et le télétravail présentent certaines similitudes, notamment sur le fait de pouvoir travailler depuis n’importe quel endroit, il faut savoir qu’il s’agit de deux statuts complètement différents. Le freelance est un indépendant qui peut choisir ses clients, sa charge de travail et ses rémunérations en fonction de ses besoins. À contrario, le télétravailleur demeure un salarié qui doit se conformer à des obligations spécifiques aux missions qui lui sont attribuées. Contrairement au salarié classique, il a la particularité de pouvoir travailler à distance.

Une méthode de travail au profit des employeurs et des salariés

Certaines firmes n’autorisent le télétravail que quelques jours par semaine seulement. D’autres en revanche vont mettre à profit les avantages que procure cette pratique en autorisant le télétravail de manière permanente. L’avènement des nouveaux outils de télécommunication favorise grandement la création de ces postes en télétravail au sein des entreprises. C’est afin de permettre à leurs salariés d’être plus productifs et de s’épanouir professionnellement que certaines sociétés leur proposent du télétravail. Ils peuvent alors travailler de manière plus optimale dans des endroits propices à la concentration et au calme. À l’instar des freelances, les télétravailleurs peuvent louer des salles de réunion ou un espace de coworking pour effectuer leurs missions. Ce type de travail est profitable aux entreprises dans la mesure où il réduit de manière considérable les absentéismes de ses salariés. Ces derniers sont d’autant plus engagés étant donné qu’ils sont libres de choisir leur lieu de travail au gré de leur humeur. Si certains privilégient le calme de leur maison, d’autres vont exploiter des lieux encore plus originaux pour développer leur créativité.